• Chaque soir où je rentre, ils font leur moisson. Ils récoltent les empreintes olfactives qui empreignent mes vêtements ou les roues de mon vélo. Toujours curieux, ils inspectent le bas de mon pantalon, mes mains, avant de valider mon odeur "originale" et de me considérer comme leur maître et pourvoyeur de nourriture...Miaou...


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  • Site d'audioguides

    Découvert ce matin dans le cube cathodique, ce site semble offrir des audioguides de différentes villes... dont Laon !

    Il suffit de s'inscrire, télécharger les fichiers MP3 que l'on met (au choix) dans son téléphone ou dans son lecteur MP3 préféré, puis on peut faire la visite (dispo sur google earth). Pas mal, l'idée, les audioguides étant ruineux souvent... Je vais enfin rentabiliser mon lecteur MP3...


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  • Simple comme un lit de camp. Monté et posé sur le balcon.

    La tête dans les étoiles, là haut, l'odeur de l'herbe tondue fraîchement cet après midi dans un vacarme bien connu. (Vroummmvroummmtratratra vroummmmvroumvroumtratratra....).

    Le chant des grillons (véridique), les oiseaux noctambules qui lancent un cri ca et là.

    Parfois c'est simple.


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  • Ca y est, ca me reprend, envie de bouger... Terrible cette bougeotte. Il ya bien le petit détour au pays du fromage a pate molle, mais ca ne suffit pas à assouvir mes envies de voyage. Iberia m'offre son hospitalité, mais j'hésite. A moins d'attendre plus tard, de réfléchir à un projet construit. Il y a toujours les Scots, qui m'appellent au son de la Cornemuse., paysages humides, ou l'Ile aux deux Soeur Religions Ennemies, pour vivre en vert... Ou le désert ? Dénuement le plus total, plus rien, la chaleur intense de l'été sableux sur des voyageurs assoiffés. Hum...

    J'ai décidé Un petit tour à pied autour des rempart, c'est bien aussi. Et c'est gratuit !


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  •  

    Un ptit truc qu'on m'a envoyé. 

    Les impôts semblent s'expliquer par une logique simple. Mais beaucoup ne la saisissent toujours pas. Comme c'est la saison des taxes, laissez-moi vous expliquer en des termes que tout le monde peut comprendre.

    Supposons que tous les jours 10 hommes se retrouvent pour boire une bière et que l'addition se monte à 100 $ (normalement 10 $ chacun).

    S'ils payaient la note de la façon que l'on paye les impôts cela donnerait à peu près ceci :
    Les 4 premiers (les plus pauvres ?), ne payeraient rien.
    Le cinquième payerait 1 $.
    Le sixième payerait 3 $.
    Le septième payerait 7 $.
    Le huitième payerait 12 $.
    Le neuvième payerait 18 $.
    Le dernier (le plus riche ?) devrait payer 59 $.

    Ils décidèrent de procéder comme décrit.

    Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et semblèrent assez contents de leur arrangement.
    Jusqu'au jour ou le tenancier les plaça devant un dilemme :
    __ Comme vous êtes de bons clients j'ai décidé de vous faire une remise de 20$. Vous ne payerez donc vos 10 bières que 80$ !

    Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon qu'ils auraient payé leurs taxes. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement.
    Mais comment les six autres, (les clients payants), allaient diviser les 20$ de remise de façon équitable ?
    Ils réalisèrent que 20$ divisé par 6 faisaient 3,33$. Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage alors le 5e et 6e homme devraient être payés pour boire leur bière.

    Le tenancier du bar suggéra qu'il serait équitable de réduire l'addition de chacun du même montant, donc il fit les calculs.

    Alors ?
    Le 5e homme, comme les 4 premiers ne paya plus rien. (Un pauvre de plus ?)
    Le 6e paya 2 $ au lieu de 3 (33% de réduction)
    Le 7e paya 5 $ au lieu de 7 (28% de réduction)
    Le 8e paya 9 $ au lieu de 12 (25% de réduction)
    Le 9e paya 14 $ au lieu de 18 (22% de réduction)
    Le 10e paya 49 $ au lieu de 59 $ (16% de réduction)

    Chacun des six « payants » paya moins qu'avant et les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement.

    Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie :
    __ J'ai seulement eu 1 $ sur les 20 $ de remise (dit le 6e) (il désigna le 10e) Lui il a eu 10 $.
    __ Ouais ! (dit le 5e) j'ai seulement eu 1 $ d'économie aussi !
    __ C'est vrai ! (s'exclama le 7e) pourquoi aurait-il 10 $ alors que je n'en ai eu que 2 $ ? Le plus riche a eu le plus gros de la réduction !!
    __ Attendez une minute (cria le 1er homme à l'unisson) Nous quatre n'avons rien eu du tout nous. Le système exploite les pauvres !!!

    Les 9 hommes cernèrent le 10e et l'insultèrent !...

    La nuit suivante le 10e homme (le plus riche) ne vint pas. Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui. Mais quand vint le moment de payer leur note ils découvrirent quelque chose d'important : ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition.

    Et cela, garçons et filles, journalistes et collègues professeurs est le reflet de notre système d'imposition. Les gens qui payent le plus de taxes tirent le plus de bénéfice d'une réduction de taxe.

    Taxez les plus fort, accusez-les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais. En fait ils pourraient commencer à aller boire à l'étranger où l'atmosphère est, comment dire, plus amicale.

    Pour ceux qui ont compris, aucune explication n'est nécessaire.

    Pour ceux qui n'ont pas compris, aucune explication n'est possible.

    David R. Kamerschen, Ph.D.
    Professeur d'économie
    Universiy of Georgia,
    USA


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