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La musique vous emporte par delà les cimes, par mont et par vaut.
Elle a ce pouvoir cicatrisant sur l'âme que ne possède aucun médicamentAhh, ce que j'aime le jazz sous toutes ses formes créatives et métissées....
PARIS COMBO
Rendez vous ici pour plus de détails. Et la une interview...
Extrait :
"C'est sur scène que Paris Combo fait ses preuves. Mais les cinq membres du groupe ont déjà une riche expérience des planches et du public. Leur style lorgne vers la chanson gouailleuse et parigote de l'entre-deux-guerres agrémentée d'influences latino, jazzy, orientales ou gitanes. Mais c'est bien dans les années 90 que le répertoire du groupe est ancré. La voix perchée de Belle du Berry mène la danse au milieu de ses compères mêlant leur talent dans de joyeuses orchestrations."
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Tiens, ca me fait penser à quelqu'un....
LA FRONTIERE INVISIBLE
LES CITÉS OBSCURES tome 1
de : François Schuiten - Benoît Peeters
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Le café
Jacques DELILLE (1738-1813)
Qui manquait à Virgile, et qu’adorait Voltaire ;
C’est toi, divin café, dont l’aimable liqueur
Sans altérer la tête épanouit le cœur.
Aussi, quand mon palais est émoussé par l’âge,
Avec plaisir encor je goûte ton breuvage.
Que j’aime à préparer ton nectar précieux !
Nul n’usurpe chez moi ce soin délicieux.
Sur le réchaud brûlant moi seul tournant ta graine,
À l’or de ta couleur fais succéder l’ébène ;
Moi seul contre la noix, qu’arment ses dents de fer,
Je fais, en le broyant, crier ton fruit amer,
Charmé de ton parfum, c’est moi seul qui dans l’onde
Infuse à mon foyer ta poussière féconde ;
Qui, tour à tour calmant, excitant tes bouillons,
Suis d’un œil attentif tes légers tourbillons.
Enfin, de ta liqueur lentement reposée,
Dans le vase fumant la lie est déposée ;
Ma coupe, ton nectar, le miel américain,
Que du suc des roseaux exprima l’Africain,
Tout est prêt : du Japon l’émail reçoit tes ondes,
Et seul tu réunis les tributs des deux mondes.
Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi.
Je ne veux qu’un désert, mon Antigone et toi.
À peine j’ai senti ta vapeur odorante,
Soudain de ton climat la chaleur pénétrante
Réveille tous mes sens ; sans trouble, sans chaos,
Mes pensers plus nombreux accourent à grands flots.
Mon idée était triste, aride, dépouillée ;
Elle rit, elle sort richement habillée,
Et je crois, du génie éprouvant le réveil,
Boire dans chaque goutte un rayon de soleil.Trouvé par hasard ici : diplomatie.gouv.fr Qui l'eu cru... ?
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Entrez dans mon univers et laissez vous porter par les images, les sons et les textes...
Photo : Porte d'Ardon. (C) Ileou
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